L'affaire royale: une nuit salace d'adultère et de jeux de pouvoir

Ne vous inquiétez pas pour le référencement ou les mots-clés cibles; laissez votre créativité s'écouler librement ! Il était une fois (bon, samedi dernier soir), mon équipe tout aussi aventureuse et moi avons décidé d'embellir notre soirée de jeu typique avec quelque chose d'extra-mauvais et oh-so-délicieusement interdit: Adultery of Kings, un jeu de société érotique qui promettait des rires sans fin, des stratégies tordues et beaucoup de débauche scandaleuse. Dès que nous avons déballé le coffre en bois haut de gamme rempli de dés de velours, de pièces d'or, de jetons de jeu complexes et de cartes de joueurs détaillées avec des membres de la royauté plus chauds que le soleil lui-même, nos paumes ont commencé à transpirer d'anticipation. Chaque personnage avait son propre ensemble unique de compétences, capacités et faiblesses qui entraient en jeu au cours de divers tours de politique, d'intrigue, de séduction et de nombreuses manigances de chambre trop risquées pour une compagnie polie. Alors que le roi Henri VIII (joué par mon meilleur frère Caleb) commençait à poser le plateau de jeu, je ne pouvais m'empêcher de regarder ses cuisses virileles qui regardaient à travers ses pantalons légers, souhaitant désespérément qu'il soit ma maîtresse Anne Boleyn. Mes yeux se sont ensuite tournés vers la reine Catherine d'Aragon (interprétée par ma sœur Rachel), qui me regardait avec des yeux bruns perçants remplis à la fois de convoitise et de vengeance pourrait-elle déjà comploter ma chute ? Oh, comme c'était délicieusement dépravé ! Chaque tour nous entraînait plus profondément dans le réseau de la tromperie, de la prise de pouvoir, et surtout, des rencontres obscènes. Il y avait des rendez-vous secrets dans des bordels, des rendez-vous torrides sous le couvert de l'obscurité, et même une bonne humiliation publique à l'ancienne conçue uniquement pour la vengeance (vous regardant, vieille chauve-souris intrigante Catherine). À minuit, le tableau ressemblait à une scène d'orgie de bordel tout droit sortie d'un chef-d'œuvre hollandais dément, avec des sourires méchants, des joues rouges et beaucoup trop de préservatifs usagés éparpillés partout. Mais cela n'a émoussé personne au contraire, chaque victoire avait un goût plus doux, chaque défaite plus excitante. Et quand nous nous sommes finalement couronnés les royaux les plus sales et les plus licencieux de l'histoire, tout le monde s'est effondré simultanément sur le sol, essoufflé tandis que les pantalons étaient encore déchirés et les lèvres encore gonflées des baisers passionnés échangés dans la poursuite de la domination ultime. Ce n'était plus seulement un jeu, c'était un voyage tabou dans les profondeurs sombres du désir humain, où aucun fantasme n'était trop pervers et où la moralité avait disparu depuis longtemps, remplacée par un hédonisme pur et effréné.